Détatouage laser à Lille

Non.

Le laser Q-Switchés PICO + NANO seconde ne provoque pas de brûlure et pas de cicatrice.

Le temps d’exposition du faisceau laser dure très peu de temps.

Ce sont les lasers les plus sûrs et les plus efficaces pour le détatouage.

Le temps sera votre allié !

Il faut compter 6 à 15 séances pour un tatouage professionnel, alors que les tatouages amateurs n’en requièrent que 1 à 5.

Chaque séance doit être espacée au moins de 6 semaines afin de laisser votre peau cicatriser et que l’encre pulvérisée s’élimine progressivement.

De manière générale, le nombre de séances dépend de la taille du tatouage, de la densité d’encre, de la couleur et du type d’encres et de sa profondeur dans la peau.

Habituellement oui.

Après les premiers traitements, vous remarquerez que certaines zones traitées ont disparues : le tatouage s’efface de manière non uniforme car l’encre à été déposée de manière non uniforme dans votre peau. Avec le temps, le tatouage se ternit et la peau retrouve progressivement sa couleur naturelle.

A terme, dans 50% des cas vous retrouvez une peau équivalente à celle non tatouée. Dans 20% des cas, votre peau peut être plus claires. Elle se recolorera habituellement au fur et à mesure de l’exposition au soleil. Dans 30% des cas il peut persister un ombrage discret.

Oui.

Les lasers de dernière génération possèdent une technologie innovante qui leurs permettent de délivrer jusqu’à cinq longueurs d’ondes (5 lumières différentes) afin de traiter les tatouages multicolores, tel que le noir et le brun, le orange et le rouge, le vert, le violet et le bleu. Ils possèdent également des durées d’impulsions PICO + NANO seconde complémentaires.

Les encres jaunes, vert clair et bleu ciel sont les plus difficiles à retirer et s’effacent rarement.

Oui.

Le laser Q-Switché PICO + NANO seconde utilisent la technologie PhotoAcoustique et émet des impulsions laser ultra-courtes. A chaque impact qui suit le tracé de l’encre, les patients ressentent comme un « coup d’élastique » puis une sensation de chaleur durant quelques secondes.

Il est toutefois possible d’utiliser des crèmes anesthésiantes ou un système de refroidissement de la peau.

Une séance de détatouage laser médical se déroule sans douleur au cabinet de votre médecin et ne nécessite pas d'hospitalisation.

Vous serez allongé sur un fauteuil adapté dans une atmosphère rassurante. Vous serez démaquillée et votre médecin esthétique désinfectera votre peau.

Les personnes présentes dans la salle de traitement doivent porter des coques ou des lunettes de protection pendant toute la durée de la séance. Elles seront prêtées par le cabinet.

Une sensation de « picotements chauds » peut être ressentie. Elle est transitoire et ne dure que le temps du traitement laser.

A chaque tir vous entendrez un léger claquement qui correspond à la destruction du pigment. Un blanchiment (témoin de l’efficacité) apparaîtra instantanément et une rougeur secondaire disparaitra en quelques jours – c’est le temps de la régénération de votre épiderme.

Rarement, il peut y avoir un saignement, la formation de croûtes et l'apparition de « bulles » transitoires qui disparaitront habituellement dans la semaine.

Les honoraires de votre médecin laseriste dépendent de plusieurs facteurs : la zone anatomique, le nombre de couleur et de la surface à détatouer.

A titre indicatif, une séance de détatouage laser peut être réalisée à partir de 100€ ttc.

Un devis-consentement éclairé vous sera systématiquement proposé au préalable.

Le but de cette intervention médicale est d'apporter une amélioration significative et non pas d'atteindre la perfection. Si vos souhaits sont réalistes et conformes aux indications de votre médecin Anti-âge et laseriste esthétique, le résultat obtenu devrait vous apporter une grande satisfaction. Le détatouage par les lasers médicaux nanoseconde est un acte médical qui comporte des risques qui doivent être pris en considération.

Le recours à un médecin Anti-âge diplômé vous assure que celui-ci a la formation et les compétences requises pour obtenir les meilleurs résultats, éviter les complications et les traiter efficacement le cas échéant. Vous limitez au maximum les risques, sans toutefois les supprimer totalement.

Conformément à la Loi, les traitements médicaux à visée esthétique ne sont pas pris en charge par l’assurance maladie (ni par la majorité des mutuelles). Ils sont imposés à la TVA à 20% depuis le 1er Janvier 2014.

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